mardi 10 juillet 2012

Dimanche à Kamakura

Bonjour à tous !

Ce dimanche, nous sommes allés faire un tour du côté de Kamakura, une petite ville proche de Tokyo réputée pour ses temples, sanctuaires et autres monuments historiques. Nous accueillions de nouveaux nos deux invités de marque, Lucie et Paul. Une fois tout le monde rassemblé à la gare de Yokohama vers 11h30, c'est parti pour une quarantaine de minutes en train.

L'ambiance de Kamakura est vraiment très différente de celle de Tokyo. Pour nous qui n'avons pas quitté la mégalopole depuis notre arrivée ici, le changement d'air est bienvenu. En plus, le soleil est au rendez-vous, pour la première fois depuis de nombreux week-ends (Un conseil si vous visitez le Japon : n'y allez pas en Juin. Il pleut tout le temps).









Première visite : le temple zen Engakuji. Il s'agit d'un ensemble de bâtiments bâtis sur le flan d'un colline boisée. Le lieu est empreint de sérénité, et étrangement vide de touristes.



(Ça vous dit quelque chose ?)















Puis on enchaine sur le sanctuaire Shinto Tsurugaoka Hachimangu, beaucoup plus fréquenté. On le traverse assez rapidement, il commence à se faire faim.





Nous arrivons finalement au centre ville de Kamakura, où nous déjeunons dans un restaurant de sushis déniché dans le guide de voyage de Victor. Un excellent repas.










Ensuite, direction le Daibutsu, une grande statue en bronze à l'effigie de Bouddha située de l'autre côté de la ville. La statue est assez impressionante, et il est même possible d'en visiter l'intérieur moyennant 20 yens (une expérience pas forcement transcendante d'après ceux qui l'ont tenté).




  


On commence à en avoir plein les pattes. Mais c'est pas fini !


Un détour par la plage. Sans rire, on a pas vu une vrai plage depuis qu'on est arrivés au Japon.


Après une petite marche dans le sable, nous décidions finalement de commencer à retourner vers la gare. Seulement, nous ne prendrions pas la même grande boucle qu'à l'aller comme des touristes ordinaires, mais emprunterions un chemin coupant à travers les collines et les habitations.


















Cette entreprise s'est finalement révélée bien plus longue et périlleuse que prévue, le chemin prenant par moment des allures de randonnée à travers la forêt. Mais entre quartiers résidentiels tranquilles, sous-bois touffus et petits temples découverts au détour du sentier,  ce chemin en valait vraiment la peine. A notre arrivée à la gare, la nuit achevait de tomber, et nous retournions vers la civilisation.

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