samedi 2 juin 2012

Ma semaine 2

Salut à tous.
Je n'ai rien de passionnant à vous raconter a part peut être les deux "nomikais".
En effet, niveau boulot, à part deux jour où j'ai appris et pratiqué le polissage d’échantillons, à l'issue desquels j'ai une douleur persistante à l'index droit (certes elle diminue, mais elle dure des jours), j'ai eu pas mal de temps libre, parce que que je n'avais rien d'autre à faire que de compulser la documentation déjà  lue. Certes, vendredi matin (hier donc), mon tuteur m'a fournit le recueil d'articles scientifiques issu du colloque international sur le laser dans l'industrie de 2005. J'ai quand même eu le temps de réviser mon japonais et de me cultiver en errant sur wikipedia.


La première nomikai était mercredi dernier, à l'occasion du retour d'un des boss du service. Il y avait à boire et à manger en quantité, encore qu'il ne restait plus grand chose à manger sur la fin. J'ai donc fait la rencontre d'un certain nombre de membre du département et de proches collaborateurs, dont un s=certain nombre de supérieurs passablement éméchés. Il est amusant de constater que plus une personne est haut placée dans la hierarchie, ou agée, plus elle boit. Je discutait avec un chef quand on m'a proposé du saké, j'ai répondu que j'en voulais un peu et mon interlocuteur désirait la même quantité. J'ai eu un demi verre et lui un verre plein. Il faut aussi remarqué que l'alcool m'aide pour les langues etrangeres. Je ne parlais pas beaucoup mieux japonais certes, mais je le parlais beaucoup plus! Pour l'anglais, c’était la même, en moins flagrant, sauf pour la qualité. ;-) Au final, je n'ai pas bu tant que cela, un verre de bière (Asahi), un de vin blanc ( de Californie), un de vin rouge ( "bourgogne" de Californie) et deux verres de sake/Nihonshu. Mais j'étais assurement emeché , "sous l'influence", dixit le Marin Shadok. Enfin, j'ai quand même reussi à rentrer rapidement à l'hotel en solitaire.

La deuxième nomikai, vendredi, était en fait plus une soiré au restaurant avec les chefs et quelques membre du service. Eux ont bien bu mais je n'ai pris qu'un verre de biere et le reste au jus d'orange.
J'ai donc pu profiter pleinement des plat qu'il m'ont fait découvrir. Je m'amuse de constater que je peux manger des plats qui m'auraient rebuter en d'autre circonstances, comme une crevette entière( mais sans la tête). Le poisson cru ne me dérange pas. Je remarque que ce sont les chefs qui parlent le plus et qu'ils ont parfois de drôles d'idée.

A la prochaine.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire