vendredi 15 juin 2012

Ma semaine 4

Salut à tous.

Cette semaine a été tranquille, le début passé encore à réviser les kanjis et le vocabulaire des leçons de japonais. Mais depuis jeudi, j'ai recommencer à avoir du vrai travail. J'ai du de nouveau polir des échantillons, avec moins de succès cette fois, car j'ai passé des heures à user des disque de papier sans obtenir de résultat satisfaisant. Comme quoi, la réussite des premier coup, c'était surtout de la chance. J'ai aussi eu droit au planning, ça va être plus serré à partir de maintenant. La semaine prochaine va être consacré à l’étude des microstructures, les deux semaine suivantes à l’étude des profils de soudure en fonction de l'energie du laser et de la quantité de poudre injectée  et les deux d’après  à des tests élongation contraintes. Autant dire qu'on a du pain sur la planche. Mon tuteur va encore être débordé, mais je le verrais plus souvent.
Sinon, cette semaine  a été marqué par l'arrivée des stagiaires du MIT.
Ce fut quelque peu décevant. En effet, point de McGee ni consort, il sont d'origine asiatique. Oui, ils sont de parfaits modèles du "asian level". Et de notre point de vue, ils détonnent moins dans le paysage que nous. Du point de vue des japonais, c'est moins sûr. Toujours est il que la fille nous domine par son niveau de Japonais (en même temps, c'est plus facile pour eux, ils n'ont pas à apprendre l'anglais en plus d'une  autre langue étrangère)  et par le fait qu'elle a attaqué le natto le petit déjeuner du deuxième jour (pour rappel, J'ai mis un mois.). Le garçon lui est d'un contact plus facile et visiblement moins bon en langue. Il me fait concurrence pour la prise de photo.
Enfin, ce soir, nous avons participer à la réception tenue en l'honneur de la venue de deux professeurs de l'ECL ( uniquement chercheur au LTDS, c'est pour cela que nous ne les connaissions pas autrement que de vue, et encore). Vous vous en doutez, j’étais en permanence à proximité des plats et je me resservais  très régulièrement. Ce fut même moi qui attaqua le premier la nourriture ( pour la boisson, ce fut un simultané au "Kampai"). Je ne sais pas pourquoi, tout le monde hésitait à se servir et se regardait sans bouger. Mais ma quête de l'art culinaire  nippon ne m’empêcha pas de tenir la conversations avec plusieurs responsables japonais et nos deux visiteurs.  La réception fut fini, non par manque de munition (bien  que j'avais fait un carnage dans les sushis et ravagé l'ananas), il restait amplement de quoi satisfaire une dizaine de personnes, ou un deuxième moi,  mais  bien par ce qu'il se faisait tard. nous sommes rentré sans encombre à l’hôtel.

Sur ce, à bientôt.

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