lundi 18 juin 2012

Jour 35 : retour à Akihabara et Roppongi by night

Salut à tous.
Hier, nous sommes retournés à Akihabara, pour accompagner Lucie et Paul entre autres. Nous avions rendez-vous à 13h devant la gare d'Akihabara, implicitement devant la sortie idoine pour la visite. Parti à 12h11 de l'hotel, nous somme arrivés à 13h15 et avons retrouvé Paul au dit endroit. Lui était arrivé à midi 40. Mais pas de Lucie. Nous somme resté sur place, sachant que si nous nous séparions, cela aurait été la galère pour nous retrouver si chacun vadrouille dans son coin. Une de retrouvée, trois de perdus, ce n'est pas vraiment l’idéal. Sur les coups de 13h35, Lucie nous avait enfin retrouvé.
Elle s'était dirigé vers la sortie centrale de la gare qui est à l'opposé de de la sortie pour le Akihabara renommé, le tout à 13h05. En même temps, nous, on avait quantité de guides touristiques, mais elle aucun. Elle adonc fait le tour de la gare, plusieurs fois il me semble. Certes nous sommes grands (par rapport à la moyenne des japonais, mais la sortie de la gare comportait des colonnes plus large encore et disposées de telle façon qu'en fait, ne pas nous avoir vu immédiatement n'est pas surprenant. Lucie a pu nous faire découvrir dans un passage sous la gare une vitrine visiblement à la gloire du Sentai local (non pas H..., Sentai, Power rangers quoi, enfin Biouman, euh, Akihabaraman).
Nous avons commencé par un magasin de manga puis nous avons été dans les petite rue  de l'Ouest pour trouver un restaurant. Nous nous sommes décidé pour un KFC , qui se trouvait sous une arche d'une des lignes de chemin de fer desservant la gare du quartier (les japonais sont champions de l'utilisation de toute la place disponible, tous usages confondu. Une seule chose les arrête, visiblement, le manque de moyens, mais sinon...). Une arnaque,question rapport quantité prix (enfin ce que j'ai pris, les autres, je ne sais pas...). J'avais un sandwich de poche, mais alors de poche arriéré de jean. Modèle très compact. Très épicé. J'essayais d'apaiser les brulures avec le thé glacé, une autre erreur. Du vrai thé avec des des glaçons, une horreur. Mais la seule alternative dans la formule était du coca.
Après cette pause repas, et quelques errances, nous avons été dan une salles d'arcade, encore... Jérémy et Victor se sont éclatés ( au sens figuré et au sens "propre", puisqu'ils jouaient l'un contre l'autre) sur Tekken, avec une tentative de Lucie. Vincent dominait la mêlée de personnages de Type-Moon, Paul faisait je ne sais trop quoi. Et moi, je filmais. Et j’étais le spectateur de leurs exploits.
Après nous avons visité le bâtiment plus ou moins consacré au fameux groupe d'idole AKB48 (AKihaBara48), attiré par la curiosité et peut être un curieux mélange d'amour-haine. Il y avait à l'intérieur,outre la salle de concert dédié au 8eme étage, un étage avec maid café et  boutique de costumes d'AKB, (coiffeur?, autre boutique "l’esthétique"?), un Don quijote, sur au moins trois étages, vous savez le magasin qui vend n'importe quoi, même si celui du Kabukicho de Shinjuku est plus grand, et  des échoppes divers au rez de chaussé. Nous nous étions déjà fourvoyés (et vite ressortis) au sous sol du bâtiment, puisqu'il abrite une salle de Pachinko. Cette fois, on l'a évité.
Quand on est sortis, il était presque  17h, horaire d'ouverture du maid café que nous avions choisis, le Little BSD. Un maid café tiré du routard. Donc très soft. On dirait pas à la vue de l'enseigne.
En effet,  little BSD veut dire Little Beauty Satanic Dining. Ah ben non, on n'a pas eu les charmants petits diablotins (euh, diablotine pour le feminin , ça marcherait?). On a eu droit aux mariées. Il y en a qui diraient que c'est pire.
(en même temps, il y a deux étages, et l'autre était fermé. C'est peut être dans celui la que l'on trouve les demonettes.)













Mais clairement, ce n'est pas du tout comme l'image "classique" du maid café ci-contre.

Le plus délirant avec les maids était le "mariage" avec decoupage de gateau en couple et photo. Et le Biberon.  La maid donne le biberon au client. Ce qui est généralement l'occasion d'une photo. Le client japonais bien que "O-kyaku-sama" n'assume pas et la maid s’écarte un peu pour ne pas être sur la photo, tout en tenant le biberon donc avec juste la main dans le champ.



L'ambiance était donc sympa, nous avons commandé une boisson, puis des onigiris spéciaux. Ils étaient en forme de coeur, de Snoopy, d’étoile et de chat. La maid qui les a fait était une championne, vite fait, bien fait, les uns à la suite des autres. (note astuce pour les onigiris: pour la mise en forme, utiliser du cellophane). Nous avons aussi commandé un set de "boulettes russes". Ça porte bien son nom avec la ressemblance avec la roulette russe: des boulettes de viande hachée et de riz entouré  de sauce tomate, et parmi les six (ça tombe bien on était six aussi), une est piégée. A la sauce piquante extra forte. Et devinez sur qui est tombé le piège? Votre serviteur évidemment! Jérémy  aurait parié que ce serait sur lui, mais on se livre une compétition féroce en matière de malchance. J'ai donc pu profité d'une bouche en feu pendant une demi heure, j'en été réduit à sucer les glaçons distribués généreusement dans les boisson pour essayer d'apaiser la fournaise buccale, et d'une purge aujourd'hui.
Au final, et en exceptant mes petits désagréments, nous avons passé agréablement une heure et demi dans ce lieu.

Nous sommes retournés à la gare, Lucie nous a quitté pour résoudre quelques problèmes vestimentaires au centre commercial tout proche et nous, les cinq restants, avons emprunté les méandres des lignes ferroviaires puis du métro pour arriver au cœur de Roppongi, un quartier très animé la nuit. Nous nous sommes donc promenés au sein de ruelles regorgeant de bars et de clubs en tous genres. Par exemple à côté du bar mexicain et au dessus du bar le "blue samurai"  se trouvait un bar "Dragon Quest", même si cette appellation devait surtout être du à la musique, le cadre et le serveur me semblant on ne peut plus classique. Nous avons donc vu les environ de la tour mori qui abrite un centre commercial (eh oui, encore, et toujours) et quelques audaces architecturales bien agréables à la vue, un parc et un étang. Mais au cours de notre trajet, il yeu deux choses qui me dérangent et que je déteste, que j’exècre. D'abord, il y a des bidules qui émettent d'horribles sifflements aigus ( moi je les entend et Paul aussi , mais ce n'est pas le cas de tous). J'ai l'impression que l'on m'enfonce des clous dans les oreilles et aussi que le bas de l’arrière de mon crane va aller faire un tour suite  à des palpitations à cet endroit précis.  Pas vraiment agréable. Et le second dérangement vient des grand noirs qui t'aborde dans la rue pour te vanter les mérites des "gentlemen club" et des établissements de même acabits. Certes, certains sont amicaux ( "how have you guys been doing?... "= Comment allez vous? ... ) , d'autres sont plus directs ("Striptease?" ....) . En plus c'est vraiment pas les gars du coins. Enfin , nous avons fini par une escale au conbini et une pause à "Roppongi Midtown" entre trois buildings et à proximité d'un parc qui doit être sympa de jour.
Puis nous sommes rentré, Paul de son côté et nous quatre vers Yokohama. Malgré un train direct jusqu'a la gare de Yokahama, un changement de moins de  cinq minutes et 3 min de trajet  pour une station sur la seconde ligne, nous arrivâmes tard à nos chambres. Ceci fait que nous étions tous fatigué ce matin.

A bientôt!

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