7H du matin, le réveil sonne. Il sonne certes beaucoup trop tôt, mais il sonne surtout le début d’un trajet plein d’aventures et d’espoir vers un pays fascinant : le Japon ! Première étape, un trajet d’une durée totale de 17 heures, avec 12 heures d’avion, 3 heures d’attentes à Roissy et à Londres, et deux heures de transports au Japon.
Rien de particulier dans tout ça, si ce n’est qu’en arrivant à 10H du matin, l’avion nous aura gentiment privé de nos neuf heures de sommeil au profit d’un sadique décalage horaire. Arrivée au Japon, et première anecdote amusante : devant les arrêts des bus qui allaient nous emmener à Yokohama depuis l’aéroport de Narita à Tokyo, on trouve des agents de la compagnie de transport, qui tout naturellement saluent le bus à son arrivée et à son départ. Pas quelque chose que l’on verrait en France…
Rien de particulier dans tout ça, si ce n’est qu’en arrivant à 10H du matin, l’avion nous aura gentiment privé de nos neuf heures de sommeil au profit d’un sadique décalage horaire. Arrivée au Japon, et première anecdote amusante : devant les arrêts des bus qui allaient nous emmener à Yokohama depuis l’aéroport de Narita à Tokyo, on trouve des agents de la compagnie de transport, qui tout naturellement saluent le bus à son arrivée et à son départ. Pas quelque chose que l’on verrait en France…
Au Japon, on ne fait pas les choses à moitié. Lorsque l’on nous avait dit que nous serions logés à l’hôtel, qu’en allant sur le web nous avions vu la qualité de l’hôtel proposé et le cadre admirable de l’île sur laquelle il était situé, nous avions du mal à y croire. Pourtant c’est bien dans un magnifique établissement au bord de l’eau, près d’un petit mais charmant parc d’attraction, à quelques minutes du train, que nous allons habiter pendant les trois prochains mois. Au programme : soirée TV HD, et apprentissage de l’utilisation des toilettes japonaises…
Nous sommes situés tout près d’un centre commercial, qui doit contenir à peu près tout ce que l’on peut désirer y trouver. Pour notre premier repas japonais, nous avons tenté des espèces de pâtes natures dans de l’eau (je suis pas doué avec les noms ^^). C’était plutôt bon, et surtout, cela aura été l’occasion pour Victor d’une part d’apprendre à utiliser des baguettes, et pour tout le monde d’autre part de manger une soupe sans en mettre partout. Quoi que sur ce point, il y a manifestement des progrès à faire !
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